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Steun de geschiedenisleraar van het Dachsbeck Lyceum, kritische vragen stellen over religie, niet akkoord gaan met iemand is niet islamofobie. Stop de censuur!

Het offensief van moslims - islamisten en andere hard liners – en hun 'reisgenoten' tegen elke kritische vraag over de islam is niet min. Een Brusselse leraar lijkt het volgende slachtoffer op het politiek-correcte altaar. Probeert men hem een buitensporige hoge prijs te laten betalen voor een paar legitieme, zij het scherp geformuleerde vragen die op gespannen voet staan met zijn neutraliteitsverplichting?

Op aansturen van Faouzia Hariche, PS-schepen bevoegd voor onderwijs en met instemming van de bestuurscoalitie (PS, sp.a, MR, Open Vld), doet de stad Brussel daar nijver aan mee. Volgens de bevoegde schepen Hariche betreft het een beslissing van de gemeenteraad.

Die ontsloeg een geschiedenisleraar van het Dachsbeck Lyceum in Brussel omwille van de volgende vragen via een besloten kanaal tegenover een moslim-leerling: "Pourquoi choisir la religion qui se caractérise par le plus haut taux d'analphabétisme et qui possède le plus grand nombre de pays sous-développés et arriérés?". Vertaald: "Waarom kiezen voor de religie die zich kenmerkt door de hoogste graad van analfabetisme en de meeste onderontwikkelde en achtergestelde landen?". De leerlinge is ondertussen afgestudeerd en zweeg daar anderhalf jaar lang over – ze had er dus blijkbaar geen probleem mee – maar haar moeder die het toevallig ontdekte, en de vernoemde politieke krachten wel. De moeder beweerde nog dat de leerlinge niet reageerde uit schrik om gebuisd te worden. Niets bevestigt echter die hypothese.

Die leraar zit ondertussen zonder inkomen, en hij krijgt al evenmin een werkloosheidsuitkering, noch een andere uitkering. De sanctie is dus véél zwaarder dan de courante(re) blaam, of een tijdelijke schorsing. Enige tegemoetkoming, zij het een schamele troost: hij behoudt zijn pensioenrechten. Maar terug lesgeven …?

Die man werd volgens een bericht in La Dernière Heure niets minder dan 'islamofobie' aangewreven. Dat is echter geen misdrijf in het Belgisch recht (noch elders).

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Soutenez le prof d'histoire du lycée Dachsbeck. Poser des questions sur la religion, être critique, ne pas être d'accord n'est pas de l'islamophobie. Non à la censure!

Des propos écrits 20 mois plus tôt, découverts par hasard par la mère d’une ancienne élève sur le mur de sa fille.

Nouvelle affaire de dérapage sur les réseaux sociaux. Elle éclate au Lycée Daschbeck dont un professeur d’histoire a été licencié par la ville de Bruxelles, pour avoir répondu sur Facebook à une élève de 17 ans qui s’interrogeait sur le sentiment religieux : "Si tu veux être une bonne croyante, pourquoi pas une bonne catholique, ou protestante, ou juive, ou même athée ? Tu peux même croire en Dieu de manière plus subtile comme font les Bouddhistes. Pourquoi choisir la religion qui se caractérise par le plus haut taux d’analphabétisme et qui possède le plus grand nombre de pays sous-développés et arriérés… ?"

Si la sanction envisagée fut d’abord de deux ans de suspension, la Ville de Bruxelles a finalement décidé de licencier l’enseignant pour "propos islamophobes et racistes" et "violation du décret de 1994 définissant la neutralité de l’enseignement de la Communauté".

Seul geste de la Ville en sa faveur : le professeur âgé de 50 ans est démissionné et pas révoqué, la différence étant qu’il conserve ainsi les droits à la pension. Mais il ne touche pour l’instant aucun chômage, et ne perçoit actuellement aucun revenu.

Il était enseignant depuis quinze ans et n’avait aucun antécédent. Il est viré pour vingt-cinq mots sur Facebook.

Et l’affaire lui est tombée dessus 20 mois après avoir rédigé ceux-ci. Sa phrase datait en effet de février 2012… mais l’élève n’en a pas fait état et c’est plus tard, le 13 décembre 2013 que sa mère l’a lue par hasard sur le mur Facebook de sa fille. Sa fille a entre-temps quitté Dachsbeck. Elle n’avait pas réagi à l’époque, de crainte que l’enseignant la fasse redoubler au mois de juin.

Et la direction apprenait aussi que son enseignant correspondait sur Facebook avec une centaine d’élèves, et jusqu’à des heures tardives, bien après 23h.

Que sa fille ait fini ses études n’a pas dissuadé sa mère d’aller se plaindre auprès de la direction. Le jour même, l’enseignant coupait ses contacts via Facebook avec tous ses élèves et présentait ses regrets.

Il s’agit, dit-il, aussi d’un dialogue privé, et le pouvoir organisateur en déduit au contraire un élément supplémentaire, lui reprochant aussi d’entretenir des contacts inappropriés avec ses élèves en dehors du cadre scolaire.

Le prof d’histoire est licencié pour avoir "tenu des propos hostiles au monde arabe ou à la religion musulmane, propos islamophobes et racistes au sens commun de ces termes […] dans un établissement dont le personnel se doit d’être parfaitement respectueux des convictions et de l’origine de chacun de ses élèves […], élèves dont une portion significative est de confession musulmane ou d’origine arabe".

L’enseignant essaie d’obtenir l’annulation devant le Conseil d’État mais Me Marc Uyttendaele défend la Ville de Bruxelles et, à ce stade, la procédure ne lui est pas favorable.